"On retourne la terre pour étouffer l'herbe naissante, raconte Marcel Richaud. C'est notre façon à nous de "désherber". Mais ça prend du temps et des hommes. Et puis tout se bouscule en ce moment..."
A peine le temps d'admirer la vue de rêve, à l'Est sur le Ventoux, qu'il faut redescendre et rejoindre l'équipe qui s'affaire de l'autre coté du village. Au croisement de la Poste, Marcel est apostrophé par les anciens, qui le regardent passer l'air goguenard:
"Té rélachés pas, pitchot!"Pas de risque. Le soleil est déjà haut. Et la journée du "pitchot" est loin, très loin, d'être terminée.
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