L’heure de Gérard Basset
a enfin sonné !
Présent pour la sixième fois sur la scène du monde, le Britannique, français d’origine, a enfin atteint son objectif
en inscrivant son nom, à Santiago du Chili, au palmarès du Concours du Meilleur Sommelier du Monde organisé
par l’ASI avec le soutien déterminant de Moët et Chandon, son partenaire historique.
Ils étaient trois finalistes d’exception : Gérard Basset (Royaume Uni), Paolo Basso (Suisse) et David Biraud (France)… mais il n’en fallait qu’un au sommet et ce fut ce Français de 54 ans qui a choisi de vivre outre-Manche, de s’y marier et d’y devenir chef d’entreprise sans jamais renoncer (vraiment) à l’idée de devenir Meilleur Sommelier du Monde. Pourtant, il y a moins de deux ans, lors d’un dîner partagé avec Nina, son épouse, dans leur hôtel Terra Vina, près de Southampton, il était formel. Après la désillusion connue à Rhodes : « Pour moi, les concours c’est fini ! ». Il a donc finalement changé d’avis et, plus de 20 ans après sa première participation au concours mondial, il est revenu sur la scène pour inscrire, enfin, son nom en haut de l’affiche.
Mais avant de faire vibrer le public réuni dans l’immense Convention Center du nouvel hôtel W, les trois finalistes de cette 13e édition du concours, se sont frottés à deux séries d’obstacles. La première étape de sélection réunissait 51 candidats. Une liste dont Isa Bal, le Turc Meilleur Sommelier d’Europe en titre, était absent en raison de problèmes familiaux.
Tout a commencé par un ensemble de 75 questions à négocier en 90 minutes. Puis la dégustation de deux vins (un blanc, un rouge) à commenter par écrit et enfin l’identification de trois eaux-de-vie et spiritueux.
De quoi troubler de nombreux participants qui découvraient à cette occasion le contexte du plus prestigieux des concours internationaux .
Présent pour la sixième fois sur la scène du monde, le Britannique, français d’origine, a enfin atteint son objectif
en inscrivant son nom, à Santiago du Chili, au palmarès du Concours du Meilleur Sommelier du Monde organisé
par l’ASI avec le soutien déterminant de Moët et Chandon, son partenaire historique.
Ils étaient trois finalistes d’exception : Gérard Basset (Royaume Uni), Paolo Basso (Suisse) et David Biraud (France)… mais il n’en fallait qu’un au sommet et ce fut ce Français de 54 ans qui a choisi de vivre outre-Manche, de s’y marier et d’y devenir chef d’entreprise sans jamais renoncer (vraiment) à l’idée de devenir Meilleur Sommelier du Monde. Pourtant, il y a moins de deux ans, lors d’un dîner partagé avec Nina, son épouse, dans leur hôtel Terra Vina, près de Southampton, il était formel. Après la désillusion connue à Rhodes : « Pour moi, les concours c’est fini ! ». Il a donc finalement changé d’avis et, plus de 20 ans après sa première participation au concours mondial, il est revenu sur la scène pour inscrire, enfin, son nom en haut de l’affiche.
Mais avant de faire vibrer le public réuni dans l’immense Convention Center du nouvel hôtel W, les trois finalistes de cette 13e édition du concours, se sont frottés à deux séries d’obstacles. La première étape de sélection réunissait 51 candidats. Une liste dont Isa Bal, le Turc Meilleur Sommelier d’Europe en titre, était absent en raison de problèmes familiaux.
Tout a commencé par un ensemble de 75 questions à négocier en 90 minutes. Puis la dégustation de deux vins (un blanc, un rouge) à commenter par écrit et enfin l’identification de trois eaux-de-vie et spiritueux.
De quoi troubler de nombreux participants qui découvraient à cette occasion le contexte du plus prestigieux des concours internationaux .
Sources et suite de cet article sur : http://www.sommeliers-international.com/fr/Competitions-professionnelles/l_heure-de-gerard-basset-a-enfin-sonne-_.aspx
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