A partir du 3 Octobre, nous avons tous repris un rythme plus normal.
Certains sont repartis à la vigne : Saïda et Sandrine baissent les fils de levage pour permettre les travaux d’hiver ; Jean-Claude et Jérôme ont démonté les têtes de récolte des machines à vendanger.
Les autres sont dans les cuviers pour assurer les écoulages, décuvages et pressurages. Même si les journées se terminent à des heures plus décentes, cela reste un travail physique, en particulier le décuvage : il faut rentrer dans la cuve préalablement écoulée et bien dégazée pour enlever le marc à la pelle. Il fait chaud, il y a parfois des poches de CO2 : il faut toujours travailler en binôme ; un dans la cuve et l’autre à la porte de celle-ci pour vérifier que son coéquipier est bien en forme. En fonction des lieux, les pressoirs ne sont pas les mêmes :
Toute la semaine, Emilie et moi, avons joué les intermittentes de la dégustation : cuves en fin de vinification et presses à assembler par qualité.
Nous étions heureuses de faire une coupure ce week-end : nos papilles se mettent au repos aussi !
Les volumes écoulés sont moindre que les années précédentes, les rendements se précisent à la baisse. Dans une semaine, nous aurons les chiffres finaux.
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