vendredi 13 janvier 2012

Vive le Quebec libre!


On a déjà vanté ici les mérites d'un décapant web-caviste ukraino-américain. Il fallait démarrer l'année par une trouvaille. Un scoop. Du solide, du qui "ventile et qu'éparpille". Contrat rempli: voilà Aurelia la québéquoise. Attention, ne ratez pas le coche... Cet ange blond est déjà un phénomène! Débarquée sur le net le 15 décembre avec son "bu sur le web", elle a déjà conquis un millier de fan. L'accent, sans doute...


Et voilà le travail! Quand d'autres craquent devant Rothko, une robe de Saint Laurent ou une paire de Jimmy Choo, elle s'emballe pour un gorgée de Jura de chez Tissot, une bouteille Pinot gris de Deiss ou une caisse de Cerdon made in Bartucci. Rien que du vrai. De l'authentique, jure-t-elle:
"J’aime les vins qui parlent de leur millésime, de leur terroir, de leur créateur. Ceux qui donnent des émotions. J’aime bien davantage les vins bourrés de défauts qui bouleversent et qui font crier de joie, que les vins «clean» qui donnent envie de boire tout sauf du vin."
Évidemment, nous on souscrit, on s'enthousiasme, on s'extasie! Aux quatre coins de Québec qu'on irait la retrouver, la belle Aurelia... On l'aime déjà, elle et sa façon-sans-façon de parler du vin de nos amis, de ses "to do list", ses "vins d'après ski", de ses gorgées "glam" et ses Sancerre "qui goûtent la roche". On l'aime même lorsqu'elle nous vante, un peu partie, l'improbable "vin de piscine" qui serait - à ce qu'on lui a dit - "le drink le plus hot de Paris en ce moment"...



Personnellement, je préfère le Drappier dans un grand verre à vin et sans glaçon. Mais comme elle dit:
"On n'est pas obligés d'être d'accord. Vous pouvez aimer ou détester, ça demeurera entre vous et moi... Tant que vous m’aidez, à travers mon univers, à changer le monde du vin!".
Comment résister?

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