dimanche 23 septembre 2012

Un cidre de glace à saveur d'Acadie au Québec

À Rougemont, l'hiver 2009 fut, pendant de nombreuses semaines, d'un froid extrême. Début janvier, les pommes, complètement givrées et remisées dans les minots au hangar, ressemblaient à s'y méprendre à de véritables petites banquises. Des banquises comme on en retrouve en Acadie sur les côtes de Le Goulet.

L'heure était venue de passer au pressage du précieux fruit pour en retirer le nectar. Après quelques semaines additionnelles à braver les intempéries de l'hiver à l'extérieur, ce nectar était fin prêt à entamer sa transformation. Comme le cocon d'une chenille qui devient papillon, il allait se multiplier et créer, à n'en pas douter, une multitude de petites banquises à Rougemont.

Comme par magie, les banquises de Rougemont ont conservé une couleur ambrée à l'image des fruits qui les avaient engendrés. Et tranquillement, leur teneur en alcool s'est mise à augmenter. Puis elles passèrent le printemps et l'été dans la fraîcheur de notre chai, pour finalement ressurgir à l'automne sous la forme du premier cidre de glace du Verger Girard Roussel.

Ainsi s'est complété un merveilleux cycle de mutation qui, pour le plus grand plaisir des papilles, se propose de combler vos plus grandes exigences en matière de cidre de glace. On ne peut en douter, car la Régie des alcools a attribué à Banquise une note de passage très élevée.

En cette première année de son existence, Banquise n'est produit qu'en quantité très limitée, c’est-à-dire 250 bouteilles. C'est pour cette raison que nous communiquons ce secret à nos meilleurs amis et clients afin que vous puissiez venir partager avec nous, la toute première cuvée d'une Banquise d'exception.

Faites part, lors de votre prochaine visite, de la réception de ce message et nous vous offrirons une dégustation de Banquise.

Nicole et Wilfred

N.B. - Le Verger Girard Roussel est ouvert en tout temps pour l'autocueillette jusqu'à la mi-octobre. Vous pouvez nous contacter au 450-816-0517 ou 514-212-6691.

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Fini les vacances

Et oui fini les vacances, nous voilà maintenant confronté à la dure réalité de la vie et surtout à la rentrée. Une rentrée agitée dans le monde du vin, agitée par les vendanges (un peu précoce dans de nombreuses régions et comme d’habitude exceptionnelles à Bordeaux !!) mais aussi par ces fameuses foires aux vins qui polluent vos boites aux lettres avec des prospectus toujours plus racoleurs. Passons notre chemin sur ces fameuses foires orchestrées par les lobbyistes de l’agroalimentaire. Le Sommelier Masqué a d’autres chats à fouetter (et surtout d’autres vins à goûter) que cette ribambelle de Bordeaux trafiqués aux enzymes et autres levures aux noms imprononçables.

Pour moi, l’actualité principale de cette rentrée est ni plus ni moins que la Coupe du Monde de Rugby (et oui le vin n’est pas ma seule passion). Une coupe du monde bizarre puisqu'en septembre organisée dans un pays très lointain (mais néanmoins terre du rugby). Une coupe du monde longue ou on ne joue qu’un match par semaine. Et surtout une coupe du monde ou la plupart des nations favorites sont aussi des pays a forte tradition vinicole (je savais que vous alliez me demander le rapport avec le vin). J’ai donc essayé très humblement de trouver des vins qui pourraient représenter leurs pays dans cette coupe du monde. Des vins avec les qualités et les défauts de leurs équipes respectives.

Commençons par le pays hôte et grand favori de la compétition : la Nouvelle Zélande. Pour ce pays, j’ai choisi le Pinot Noir 2006 du Domaine Ata Rangi. Ce Pinot Noir du sud de l’ile du Nord de la Nouvelle Zélande reflète parfaitement le quinze à la fougère, aérien, musclé mais pas trop, ce vin fait dans le beau jeu : savant mélange entre la terre maori et un certain savoir faire du vieux continent. Sur des notes de prune et de cerise noire, ce vin arbore des tannins soyeux et une longueur en bouche impressionnante. 




La deuxième équipe à priori la plus forte,  semble être l’Afrique du Sud. Concernant ce pays j’ai choisi Meerlust Estate Rubicon 2004. Encore une fois un savant mélange entre nouveau monde et vieille Europe. Un bordeaux blend (assemblage bordelais : cabernet sauvignon, merlot et cabernet franc) rustique comme le pack sud africain allié à une intensité et un velouté apportés par le bois comparable aux arrières virevoltant des Springboks. Un vin ample sur des notes épicées, ses tannins sont charpentés sans être désagréables et la complexité du vin est bluffante.



Pour l’Australie, ni plus ni moins qu’un Peter Lehmann Stonnwell Shiraz 2005. Pour moi l’un des meilleurs Shiraz (ou Syrah) fait en Australie. Le vin est bodybuildé comme les ¾ de son pays mais tout reste sur la finesse, passé la robe profonde, noir et intense, le vin est délicat  développant des aromes de fruit noir et de cèdre. Les tannins sont fondus mais ce vin est définitivement un vin de garde qui se bonifiera dans les années futures comme l’équipe actuelle des Wallabies.

L’Argentine serait représentée par un Catena Zapata Malbec 2006. Un cépage original comme le rugby au pays de Maradona et du Football. Mais un cépage avec beaucoup de caractère comme les Pumas argentin, généreux dans l’effort, pas avides de beau geste. Le Malbec de Catena Zapata cultivé sur des terroirs d’altitude reflète toute la personnalité de son pays d’origine intense sur des notes de fruit noir et de café torréfié. Le vin est plaisant en bouche, opulent mais très bien équilibré.

L’Angleterre, petite nation du vin mais grande nation de rugby, sera le mieux mis en valeur avec un Nyetimber 2003 Classic Cuvée. Le rugby Anglais n’est pourtant pas un rugby champagne mais ce vin mousseux du sud de l’Angleterre élaboré comme un champagne reflète bien le quinze de la rose : un brin caractériel et plus souvent présent en soirée festive que sur le terrain.  L’English champagne se sort bien de cette situation par un jeu accrocheur jouant sur la minéralité, des notes toastées et des arômes de pomme verte. Un vin rafraîchissant dans plusieurs sens.

La France ne serait que bien représentée  par un vin du Sud Ouest notamment Montus La Tyre 2003. Le rugby en France est un sport principalement pratiqué dans le sud ouest, ce vin star de la région représente très bien le pack tricolore fait d’avant rugueux comme l’attaque franche de ce vin et d’une charnière magique a l’image de la complexité de cette cuvée. Le vin est profond comme le jeu tricolore (dans ces belles années), au nez des notes sanguines, animales et de tabac. En bouche le vin révèle une profondeur, une intensité indescriptible tout en restant délicat et soyeux. Un beau vin avec un potentiel de garde impressionnant. 

Malheureusement l’Irlande et le Pays de Galles ne font pas de vin. Mais ils se rattrapent sur la bière.


Dégustation: Les Trois P'tits "C" 2005

Nom du vin: Les Trois P'tits "C" 2005
Cépage: Carignan / Carignane, Tempranillo, Grenache, Alicante Bouschet
Producteur: Vignoble du Loup Blanc
Millésime: 2005
Région: Languedoc-Roussillon, Bize-Minervois
Pays: France
Catégorie: Rouge Alcool %: 14.5
Date de dégustation: 2008/09
Prix: 23.25$ CAN

Ce vin est disponible au Québec
Code SAQ : 10528239
CUP : 03760119 324011

La note le Tire Bouchon: 90



Notes de dégustation: Ce vin a fait jaser énormément au Québec. D'abord il faut dire qu'il y a une valeur sentimentale puisque c'est un vin qui a été élaboré par des canadiens. Laurent Farre et Alain Rochard sont d'illustres restaurateurs de Montréal et résidents canadiens depuis le début des années 90. Ils sont à l'origine du Vignoble du Loup Blanc dont la noble mission est de produire de petites quantités, mais de concevoir des vins de qualité supérieure.

Les Trois P'tits C représente un vin élégant et robuste à la fois. En fait on pourrait dire que c'est une main de fer dans un gant de velour. C'est un beau vin rouge aux reflets violacés. Au nez on se laisse séduire par ses arômes de bonbons, et de fruits noirs comme la cerise, les bleuets et la prune. On y retrouve le moka mais aussi le poivre qui se présente également en bouche. Un mélange un typique de l'Espagne avec la Grenache , le Carignan , le Tempranillo et l’Alicante. Un vin qui pourra résister aux années jusqu'en 2011. Afin de profiter pleinement des subtilités de ce vin de France, il sera préférable de le décanter de 30 à 45 minutes. Les Trois P'tits "C" est le Languedoc-Roussillon dans sa plus belle expression.

Température de service: 15 à 17 C


Accord mets et vins: À savourer avec les mets de viandes rouges comme l'agneau rôti, le braisé de boeuf, un osso buco.

Vins de Glace - 1e partie

Les yeux fermés, une lampée, savourez… Le vin de glace, issu de raisins gelés, trouve de plus en plus de preneurs.

Donald Ziraldo était à Montréal pour présenter les vins de glace du domaine Equifera, à Pelham en Ontario. Ce nom qui dignifie « cheval sauvage » rappelle la vocation de la ferme avant sa transformation en vignoble au début des années 2000. Monsieur Ziraldo, co-fondateur d’Inniskillin, est devenu un ambassadeur non seulement de la viticulture du Canada mais aussi de ce vin unique, le « Icewine ».

Nous avons dégusté les trois cuvées d’Equifera, issues des trois cépages essentiels pour le vin de glace selon M. Ziraldo : le Vidal, le Riesling et le Cabernet Franc. Parmi les trois, j’ai préféré le Vidal, pour son exubérance, sa finesse, sa longueur et son amplitude en bouche. L’accord avec un fromage bleu et miel était délicieux.

Au Québec

Avec la même rigueur qu’en Ontario, qui impose un gel à -8 C pour récolter le raisin, le domaine St-Jacques produit deux vins de glace. Le blanc est issu des cépages Vidal et Vandal-Cliche et offre un superbe nez aux arômes d’ananas et de fruits à chair blanche. En bouche, on apprécie l’équilibre entre l’acidité et le sucre qui en fait un vin de glace « aérien ».

Pour le rouge, Yvan Quirion privilégie les cépages Lucy Kulhmann et Maréchal Foch. Fruits rouges et bouche soyeuse sauront s’accorder avec les mets sucrés/salés. Belle réussite !

Hélène Dion, sommelière conseil

Equifera – Icewine – Riesling 2009
Code SAQ : 11575951

Prix : 73,25 $

Equifera – Icewine – Vidal 2008
Code SAQ : 11575942

Prix : 59,25 $ (pas encore disponible)

Domaine St-Jacques – Vin de glace de St-Jacques 2009
Code SAQ : 11506331

Prix : 32,00 $

Domaine St-Jacques – Vin de glace rouge 2009
Code SAQ : 11213600

Prix : 45,50 $

Château Palmer : un troisième cru du Médoc aux allures de premier


Pour notre deuxième journée sur la route des crus de Bordeaux, moi et ma conjointe nous nous dirigeons vers la belle région de Margaux.  Au programme de ce jeudi 23 août, nous avons trois châteaux de cette belle appellation à visiter.  Notre journée s’annonce particulièrement agréable sous ce soleil qui plombe sur ces petites routes de campagne qui nous mèneront à la porte de notre premier arrêt de la journée, au Château Palmer.
Photo: Barbara Lanteigne
Le charme des tourelles du Château Palmer

Classé troisième grand cru dans la classification officielle des vins de Bordeaux de 1855, le Château Palmer s’impose dans le décor avec grâce avec ses tourelles coniques que l’on aperçoit de « route des châteaux », soit la Départementale n 2.

Un peu d’histoire
Déjà au 18e siècle cette propriété d’une dénommée Madame de Gasq était reconnue pour ses vins.  Il sera revendu en 1814 au général Charles Palmer, qui lui donnera son nom actuel.   Le général devra revendre la propriété dix ans plus tard sous le poids des dettes et les frères Péreire en deviendront les nouveaux propriétaires.  Ils ont fait construire le château en 1856 par un architecte ayant réalisé de nombreux bâtiments à Bordeaux, soit Charles Burguet.   Les frères Isaac et Emile Péreire vont également revendre le Château en 1938 à quatre familles du négoce bordelais qui occupent encore les destinés de Palmer de nos jours.  Ces actionnaires sont les Ginestet, les  Miailhe, les Mähler Besse et les Sichel. 

En 2004, ils ont confié les rênes du Château à Monsieur Thomas Duroux,  originaire du bordelais, un ingénieur agronome âgé alors d'une trentaine d'années. Duroux avait auparavant vinifié en Californie et en Toscane,  dont la fameuse maison Tenuta dell'Ornellaia.   C’est d’ailleurs ce charmant et sympathique directeur général qui va nous accueillir pour une visite de Palmer, que nous couronnerons d’une dégustation.  Je vous propose également de visionner sur You tube une entrevue complète que j’ai réalisée avec Monsieur Duroux.
Thomas Duroux déguste avec Le Tire-bouchon


À la découverte du vignoble
Les introductions étant effectuées en bonne et due forme, Monsieur Duroux nous invitent dès lors à prendre la direction du vignoble,  afin de découvrir ce qui donne à Palmer son terroir particulier.  De plus le domaine a des voisins assez prestigieux, alors que l’on remarque la présence du Châteaux Margaux au nord et Rauzan Ségla de l’autre bord de la D2.   Comme c’est bien connu dans le Médoc, les vignobles qui voient la Gironde ont le privilège de produire habituellement les meilleurs vins.  En élévation sur un plateau de graves,  Palmer a donc les conditions idéales pour que la vigne s’exprime à son mieux.   De plus, certaines portions reposent sur une couche d’argile qui profite aussi à sa position.  La vigne souffre juste assez, sans jamais manquer d’eau en raison de la présence d’une couche argileuse.  Durant notre promenade au vignoble, nous constatons l’important accordée au Merlot dans l’élaboration des vins de Palmer, avec la parcelle de Merlot qui produit le summum de ce cépage en élégance, soit La Chevalière.  Dans le vignoble de Château Palmer,  le merlot occupe une place de choix. Il est planté à proportion égale avec le cabernet sauvignon (47% chacun) et sur certaines des meilleures parcelles de graves.  Le vignoble de Palmer fait 55 hectares en superficie et il d’ailleurs est concentré sur un plateau de grave, pour à peu près une quarantaine d’hectares.  


Des travaux en cours
Comme ça semble la tendance dans le Médoc depuis quelques année et même sur la rive droite du bordelais,  il y a d’importants travaux aux installations du Château Palmer. Le Château Margaux, voisin de Palmer,  s’apprête également à entamer des travaux d’amélioration.  Il faut dire que Cos d’Estournel a donné le ton entre 2006 et 2008 dans le Médoc et les récents travaux des châteaux Cheval Blanc et Faugères dans Saint-Émilion ont aussi attiré l’attention.  Nous avons d’ailleurs été pratiquement les premiers visiteurs à pénétrer dans le nouveau chai de Palmer lors de notre passage en août.   Ces travaux devraient être achevés dans quelques mois selon Monsieur Duroux.  L’ancien et le nouveau chai seront utilisés en alternance pour entreposer les différents millésimes.  Chez Palmer,  le millésime 2012 sera un peu à l’image du 2008 de l’avis de notre guide.  Il y aura possiblement moins de rendement et les vendanges seront retardées de plus de 3 semaines.  Reste à savoir ce que septembre allait réserver à la vigne,  pour en tirer des conclusions plus fiables.


On déguste
Pour la séance de dégustation, Monsieur Duroux nous a donné l’occasion de goûter des échantillons du 2011. Le millésime 2011 de Château Palmer a été très bien reçu par l’événement Primeurs 2011.  Le vin démontre une excellente concentration et des parfums puissants. C’est un vin d’appellation Margaux très expressifs avec la présence de cerise, poivre, tabac et cassis.  2011 restera identifié comme le millésime le plus précoce des années 2000 et aussi la plus petite récolte depuis le légendaire 1961.
Le millésime 2011 repose dans le chai

Pour l’occasion, avons eu droit au grand vin du 2011, mais aussi au second vin du Château, soit l’Alter Ego.  Je dois avouer être moi-même un adepte de ce deuxième vin qui s’illustre à mon avis autant que certains crus classés.  Alter Ego existe officiellement depuis 1998.  Il faut préciser qu’un second vin de Palmer avait été commercialisé à partir du début des années 80 sous le nom de « La Réserve du général ».  En 1998, on le remplaça par l’Alter Ego avec la ferme volonté de produire un second de haut niveau, à l’image du premier. 

Puis,  afin de terminer cette visite,  Monsieur Duroux nous a partagé un échantillon du millésime 2004 des deux vins du domaine, pour nous permettre de faire la comparaison.   D’ailleurs Monsieur Duroux ne se gêne pas pour dire que la presse spécialisée a parfois tendance à condamner certains millésimes, si ce n’est pas attaché à une année dite exceptionnelle.  Pour lui, il ne fait pas de doute que le vrai travail des artisans de la vigne s’exprime lorsque les conditions ne sont pas facile pour la vigne.  Attention, même si c'est une tendance en Amérique du Nord d'accorder de l’importance au nom du winemaker comme signature de certains vins, ici à Palmer,  il n'est pas question de mettre l’homme en avant du Château.   Les hommes sont au service du style préconisé par Palmer, en d'autres mots les hommes passent, mais la signature du Château demeure. 

Bien que le Château Palmer n’est pas ouvert aux visiteurs, on y accueil une quantité importante de professionnels tout au long de l’année.  Le domaine procure du travail à près d’une cinquantaine de personne à plein temps dont 25 personnes aux vignes, 6 au chai et le personnel administratif.  Durant la période des vendanges le nombre d’employés est pratiquement doublé.

Cette visite du Château Palmer ne fait pas de doute, c’est un domaine qui offre des vins de grande classe.  C’est une valeur sûre millésime après millésime, et si l’on devait revoir le classement de 1855 dans le Médoc un bon jour, il ne serait pas étonnant de le voir promu au rang de premier. 

Après notre visite de ce prestigieux Château, nous avons pris la route vers nos prochains rendez-vous, soit le Château Giscours et le Château du Tertre, qui appartiennent à l'homme d'affaires Éric Albada-Jelgersman des Pays-Bas. Avec au programme un 3e et 5e cru classé de l’appellation Margaux pour poursuivre nos visites, ce n’est certainement pas une journée pour se plaindre. 



Pour acheter ce vin

À la SAQ : cliquez sur ce lien

En Nouvelle-Écosse : cliquez sur ce lien

Découvrez le site officiel du Château Palmer : cliquez sur ce lien